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Formule Toyota en Nouvelle-Zélande : Une journée à oublier pour Kami Laliberté

Formule Toyota en Nouvelle-Zélande : Une journée à oublier pour Kami Laliberté

Samedi 11 février 2017 par Philippe Brasseur
Crédit photo: courtoisie Geoff Rider

Crédit photo: courtoisie Geoff Rider

Le dernier week-end de la campagne 2017 de la Castrol Toyota Racing Series de Nouvelle-Zélande est en cours sur le tracé de 3,03 kilomètres de Manfeild, sur l’Île du Nord. Pour Kami Laliberté, le pilote originaire de Montréal qui y défend depuis cinq semaines les couleurs de l’équipe M2 Compétition, les trois premiers jours de cet ultime rendez-vous ont été difficiles. Après avoir peiné à inscrire des temps satisfaisants lors des séances libres de jeudi et vendredi, le Québécois s’est présenté ce matin aux qualifications avec l’espoir d’obtenir de bonnes positions de grille. Malheureusement, il a dû se contenter respectivement des 11ème et 13ème positions.

 

En après-midi, partant 11ème lors de la première des trois courses du week-end, une épreuve de 20 tours, Laliberté a conclu 11ème, un résultat auquel il ne nous avait pas habitués depuis le début de son séjour aux Antipodes à la mi-janvier. « Depuis les essais libres, ça ne se passe pas si bien. C’est très serré et je dois améliorer ma technique car j’étais à cinq ou six dixièmes du meneur. Les qualifications n’ont pas été mieux mais on a réalisé qu’Il y avait un problême avec mon aileron arrière. En course, je suis parti 11ème mais ça n’allait pas très bien, je me suis fait dépassé et j’ai fini 11ème. Ce ne fut pas un très bon samedi, mais heureusement il y a encore la journée de demain pour clore la saison de meilleure façon », de conclure le pilote de la monoplace numéro 83.

 

Laliberté complétera son séjour en Nouvelle-Zélande demain dimanche avec deux épreuves, une première en fin de matinée de quinze tours en matinée et une seconde, la plus costaude du championnat en après-midi, lors de ce qu’on appelle le Grand Prix de Nouvelle-Zélande. Les quelques vingt pilotes provenant des quatre coins du monde s’élanceront alors pour une course de trente-cinq tours.